03 · Le Prince aux Chats

Pré­sen­ta­tion : La sei­gneu­rie d’Ossarnen est deve­nue le fief d’Edrahil depuis la pré­ten­due mort de son père et la Main Noire s’en sert de base pour atta­quer les convois en Lame­don.

Loca­li­sa­tion : La sei­gneu­rie d’Ossarnen dans le Lame­don

Mise en place des joueurs : Le sym­bole du chat est lié aux armoi­ries d’Ossarnen Des attaques de convoi sont opé­rées par ses sol­dats

Dans les hautes terres du Lamedon

Alors qu’ils sont en chemin sur les terres d’Ossarnen (qu’ils soient en route pour le châ­teau ou qu’ils pistent les assaillants du convoi), les PJ sont repé­rés par une patrouille du sei­gneur d’Ossarnen qui les somme de décli­ner leur nom et d’expliquer la raison de leur venue.

Les sol­dats ne réagi­ront pas si les PJ font part de leurs soup­çons à propos de la culpa­bi­lité d’hommes d’Ossarnen à propos de l’attaque des convois. Un jet de pers­pi­ca­cité dif­fi­cile permet d’observer que cer­tains sont désa­bu­sés. En effet ils se sentent impuis­sants par rap­port au pro­blème des marau­deurs car Mico­nur ne semble pas prêt à mettre tout en œuvre pour y mettre un terme. Cepen­dant, ils n’en feront pas part aux PJ.

La forteresse sur le gué

Dès leur entrée dans le châ­teau, les PJ sentent une énorme ten­sion. Tout le monde leur jette des regards noirs, soup­çon­neux ou au mieux indif­fé­rents. Selon les cas, ils sont direc­te­ment amenés devant Mico­nur ou au prix de longs argu­men­taires. Mico­nur est un homme condes­cen­dant et peu enclin à écou­ter les PJ. Il se montre tou­te­fois inté­ressé par ce que savent les PJ à propos des attaques de convoi et promet de faire une enquête en ce sens. Le com­por­te­ment de Mico­nur envers les PJ peut varier. S’il pense qu’ils peuvent être gênants, il leur deman­dera de quit­ter le châ­teau. S’il les croit dan­ge­reux, il les fera de sur­croît suivre et assas­si­ner par ses hommes, crime qui sera imputé offi­ciel­le­ment aux fameuses bandes qui attaquent les convois. Sinon, ils sont habi­li­tés à rester au châ­teau au nom de l’hospitalité. Il leur est alors attri­bué une chambre dans le donjon et ils sont invi­tés à se pré­sen­ter dans la salle com­mune pour prendre les repas. Sous cer­taines condi­tions (voir La Tombe du Ver­tueux), les PJ peuvent voir que Mico­nur porte à un doigt une bague noire.

En cas de conflit larvé entre Mico­nur et les PJ, ces der­niers peuvent rece­voir le sou­tien d’Aiwendis, la sœur aînée d’Edrahil : « Du temps de mon père, les voya­geurs ont tou­jours été bien reçus en sa demeure et cela ne chan­gera pas tant que je vivrai sous ce toit ». De part sa défiance envers Mico­nur et la fidé­lité d’une part des sol­dats d’Ossarnen envers elle, elle repré­sente le meilleur atout des PJ. Cepen­dant elle est peu com­mu­ni­ca­tive et froide. Au pre­mier abord, elle se conten­tera d’une dis­cus­sion ano­dine et polie. Tout le monde sait au châ­teau qu’elle a été très mar­quée par la récente mort de son père, le sei­gneur Targen, et l’absence de son frère. La plu­part du temps, elle se retire dans ses appar­te­ments.

Au bout de quelques heures au sein du châ­teau, les PJ peuvent se rendre compte rapi­de­ment qu’une mau­vaise ambiance règne, notam­ment chez les gardes qui forment deux clans de taille équi­va­lente qui ne s’apprécient que moyen­ne­ment : les anciens et les nou­veaux. Un ancien ou un ser­vi­teur peut rapi­de­ment en expli­quer la raison. Suite à la mort du sei­gneur Targen, Edra­hil lui a suc­cédé mais il est peu après reparti pour Lond Ernil où il sui­vait depuis plu­sieurs années des études mili­taires. Il a nommé un homme de confiance et un ami à la tête du domaine qui gou­verne en son nom : Mico­nur. Depuis la gar­ni­son s’est étof­fée de nom­breux arri­vants, nou­veaux, recru­tés semble-t-il dans le sud, et parmi eux a été nommé le nou­veau capi­taine de la garde, Cele­bras. Les anciens et parmi eux les plus âgés étaient très atta­chés à Targen et sont très res­pec­tueux envers ses enfants, Edra­hil et Aiwen­dis.

Les nou­veaux sont peu loquaces et pas très sou­cieux d’aider les PJ. Leurs manières tiennent plus du larron que du soldat noble et droit. Pour­tant la pré­sence de leur capi­taine les rend tout à coup très dis­ci­pli­nés. Il faut dire que Cele­bras est un per­son­nage impres­sion­nant : ses che­veux sont blancs depuis sa nais­sance et une vilaine cica­trice lui barre le visage. Malgré sa car­rure moyenne, tous ses hommes le craignent pour son incroyable dex­té­rité au combat. Et il déteste que des gêneurs viennent impor­tu­ner ses gars.

Partie de chasse

La mort de Targen est encore dans tous les esprits. Elle a eu lieu, il y a presque un an, lors de l’anniversaire d’Edrahil, revenu pour l’occasion de Lond Ernil avec un ami, Mico­nur. Les deux cama­rades et Targen firent une partie de chasse dans les col­lines. Targen se blessa gra­ve­ment quand son cheval tomba acci­den­tel­le­ment et roula sur le corps de son cava­lier. Il était mou­rant quand son fils le ramena au châ­teau. Au bout de quelques jours, Aiwen­dis partit cher­cher l’aide d’un chi­rur­gien à Calem­bel mais à son retour son père était mort et mis en bière dans un sar­co­phage mor­tuaire. Il était décédé peu après son départ d’Ossarnen. Ceci est la ver­sion que connaissent la plu­part des habi­tants du châ­teau.

En menant une enquête plus appro­fon­die, cer­tains détails peuvent être dévoi­lés :

Une ser­vante
Mico­nur, dont les études s’intéressaient à la méde­cine, était au chevet de Targen pour le soi­gner. Edra­hil était contre l’avis de sa sœur de cher­cher un chi­rur­gien.
Un garde qui a accom­pa­gné Aiwen­dis à Calem­bel
Aiwen­dis trou­vait que l’état de son père n’évoluait guère et dou­tait des capa­ci­tés de Mico­nur à le sauver. C’est pour cela qu’elle était partie à la recherche d’un méde­cin.
Un vieux ser­vi­teur
Edra­hil a refusé qu’il puisse veiller le mort alors qu’il le ser­vait depuis que Targen était enfant. D’ailleurs Edra­hil a veillé seul son père jusqu’à sa mort et l’a placé lui-même dans le cer­cueil.

Mico­nur n’a rien à ajou­ter à la trame du drame ; les PJ peuvent véri­fier que ses com­pé­tences en méde­cine sont réelles. Aiwen­dis se ferme encore plus à l’évocation de la mort de son père, les PJ n’en tire­ront abso­lu­ment rien. Targen a été, comme tous les membres de la famille d’Ossarnen, inhumé dans la crypte fami­liale un peu plus haut dans la mon­tagne.

En fait Targen n’est pas mort. Un homme vieilli et les yeux dans le vague gît en effet dans un des cachots, empri­sonné par son fils et Mico­nur depuis son faux enter­re­ment. Il mar­monne de façon incom­pré­hen­sible mais il semble réagir si des PJ pro­nonce les noms d’Edrahil, d’Aiwendis voire de Targen… Mico­nur vient régu­liè­re­ment, mais dis­crè­te­ment, accom­pa­gné de Cele­bras pour lui sou­ti­rer des infor­ma­tions sur l’emplacement des autres arte­facts mar­qués du Chat et sur le coffre étrange trou­vés dans ses appar­te­ments. Pour cela, ils ont usé de la tor­ture (Bereg pourra en attes­ter, voir plus bas), qui ajouté à la tra­hi­son de son fils (Edra­hil a pro­vo­qué l’accident de chasse de son père) a fini de rendre fou Targen. Au milieu de propos inco­hé­rents, Targen se met par­fois à crier : « C’est la clef !! » puis sif­flote une mélo­die étran­ge­ment belle.

Aiwen­dis connaît cette musique (il est néces­saire que les PJ la mémo­rise…), c’est une mélo­die qui a tra­versé les géné­ra­tions dans la famille et qui ser­vait de ber­ceuse. C’est aussi en jouant cette mélo­die, de pré­fé­rence avec un ins­tru­ment de musique, que l’on peut ouvrir le coffre de Targen.

Le Signe du Chat

Dans l’ensemble du domaine, on retrouve sou­vent les armoi­ries du Hir Ossar­nen. Cepen­dant toutes ne com­portent pas le chat sty­lisé notam­ment les bla­sons gravés dans la muraille à l’entrée des rem­parts. En s’y inté­res­sant de plus près et en posant quelques ques­tions, dans le châ­teau ou dans la ville, on peut apprendre que les anciennes repré­sen­ta­tions du blason n’ont pas de chat. Aiwen­dis sait que le chat a été rajouté trois géné­ra­tions aupa­ra­vant par (donc) son arrière-grand-père, un cer­tain Ardu­mir. Elle peut éga­le­ment indi­quer, si les PJ semblent s’intéresser à la généa­lo­gie de la famille, qu’il existe un ouvrage conte­nant toutes les infor­ma­tions sur la lignée (mariages, alliances, filia­tions, etc…) depuis la créa­tion du royaume de Gondor. Il est pro­ba­ble­ment dans les appar­te­ments de son père, restés inoc­cu­pés depuis sa mort.

Cette der­nière infor­ma­tion est cepen­dant fausse, Mico­nur occupe depuis quelques temps la chambre de Targen. Il ne sera sûre­ment pas aisé d’y péné­trer sur­tout si Mico­nur a déjà eu l’occasion de se méfier d’eux. De plus, la porte est conti­nuel­le­ment ver­rouillée, même lorsqu’il s’y trouve. Dans des rayon­nages se trouve en effet un superbe livre d’apparence ancienne. A l’intérieur est décrit l’ensemble de l’arbre généa­lo­gique des Hiri Ossar­nen. Deux choses sont notables : les ascen­dances de grandes familles númenó­réennes et le fait que le père d’Ardumir ne semble pas avoir de femme selon le registre. Dans le bureau, des brouillons de cor­res­pon­dance.

Ces lettres sont adres­sées à un cer­tain Doyen à Lond Ernil. Elles font état des der­niers avan­ce­ments de ses actions : en par­ti­cu­lier sa « décou­verte d’un étrange cof­fret dans une cache des appar­te­ments de Targen, cepen­dant le pri­son­nier nie connaître son exis­tence et le moyen de l’ouvrir ». Le cof­fret en ques­tion est posé sur une table basse, recou­vert d’un tissu noir, dans la pièce secrète atte­nante au bureau. Il ne com­porte ni ser­rure ni autre sys­tème d’ouverture. Il faut chan­ter ou jouer (avec un ins­tru­ment de musique) la mélo­die adé­quate pour déver­rouiller le cou­vercle. Il contient une simple feuille de par­che­min sur laquelle est ins­crite la liste des objets tuté­laires d’Edrahil ainsi que les sei­gneurs qui les pos­sèdent (voir en annexe).

Les attaques de convoi

Cette partie varie si les PJ ont joué La Revanche du Rêveur ou non.

Les mon­tagnes blanches four­nissent une grande partie des mine­rais uti­li­sés par le Gondor, ils tran­sitent le long de la romen arat en direc­tion des grandes villes du sud-est. Cela fait d’Ossarnen un bon point de repli pour désta­bi­li­ser l’approvisionnement en métaux néces­saire à l’armée et récu­pé­rer des biens utiles à la Main Noire. Mico­nur et Cele­bras envoient des sol­dats « nou­veaux » atta­quer les convois dégui­sés en guer­riers Dunéens, sous cou­vert de patrouilles noc­turnes. Ils ne ramènent que les biens les plus pré­cieux ou utiles et évitent les objets les plus encom­brants : l’important est d’abord de ter­ro­ri­ser les mar­chands. Ces mar­chan­dises sont entre­po­sées dans une cache à mi-chemin entre Ossar­nen et la romen arat puis partent après tri vers Linhir.

Cer­tains indices peuvent induire des soup­çons chez les PJ ou les confir­mer. Ils peuvent sur­prendre une conver­sa­tion entre nou­veaux sur « la der­nière (ou pro­chaine) attaque noc­turne » ou remar­quer un soldat blessé. En sur­veillant les allées et venues la nuit, ils peuvent remar­quer des sol­dats sortir en armes et reve­nir tôt le matin. Offi­ciel­le­ment, ce sont donc des patrouilles et il pourra leur être confirmé que seuls des nou­veaux par­ti­cipent à ces patrouilles. Des PJ par­ti­cu­liè­re­ment auda­cieux peuvent les suivre et obser­ver les agis­se­ments réels des sol­dats. En res­tant dis­crets, c’est-à-dire en lais­sant l’attaque de cara­vane se faire, ou affron­tant les sol­dats puis en les inter­ro­geant, ils peuvent loca­li­ser la cache et les biens volés.

Mico­nur ou Cele­bras se rendent pour­tant par­fois dans la prison de nuit. Un nou­veau pourra en attes­ter contre « rému­né­ra­tion » ; atten­tion à ne pas prendre le soldat pour un imbé­cile, il pour­rait dénon­cer les PJ. Un de ses col­lègues a amené de la nour­ri­ture aux pri­son­niers qui seraient deux selon lui. Une rumeur chez les anciens existe à propos de l’existence d’un pri­son­nier. Les PJ pour­ront véri­fier par eux-mêmes en sur­veillant les allées et venues de Cele­bras ou Mico­nur la nuit ou en allant faire un tour dans les geôles eux-mêmes. Dans l’une d’elle se trouve Bereg. Il est affai­bli mais reste très lucide. Il explique qu’il est un homme du Sei­gneur Pro­tec­teur du Lame­don, Tir­ga­rion. Il enquê­tait sur les agis­se­ments louches du Hir Ossar­nen.

Si les PJ ont déjà joué La revanche du rêveur, ils peuvent lui four­nir leurs infor­ma­tions. Bereg deman­dera l’aide des PJ pour le faire sortir de son cachot. Ensuite, il leur deman­dera de l’accompagner plus tard jusqu’à Calem­bel pour témoi­gner de la culpa­bi­lité des sol­dats d’Ossarnen voire celle de Mico­nur. S’il manque de preuves, il leur pro­po­sera suite au scé­na­rio de l’aider à prendre en fla­grant délit les hommes de Mico­nur en inté­grant une cara­vane par­tant d’Erech. Bereg peut éga­le­ment signa­ler qu’une seconde geôle est occu­pée.

Dénouement(s)…

Les PJ peuvent se retrou­ver au cachot s’ils ont semblé dan­ge­reux à Mico­nur ou sem­blant déte­nir des infor­ma­tions inté­res­santes. Leurs affaires seront alors confis­quées et entre­po­sées dans la chambre de Mico­nur. Les objets les plus inté­res­sants, comme Ana­rhen, Mico­nur les conser­vera auprès de lui dans les appar­te­ments de Targen où Mico­nur a récem­ment élu domi­cile. Si les PJ ne trouvent aucun moyen de s’échapper, lors d’une visite de Cele­bras ou alors qu’on leur apporte leur nour­ri­ture par exemple, c’est Bereg qui pourra les en sortir, ayant réussi lui-même à s’échapper.

S’ils sont jetés hors du châ­teau, les PJ peuvent trou­ver des appuis en ville. Tout le monde n’apprécie pas l’attitude du nou­veau maître du châ­teau. Beau­coup s’interrogent sur l’attitude d’Edrahil. Si néces­saire, il est pos­sible que Bereg ne soit pas pri­son­nier mais soit à l’auberge menant son enquête. Il peut alors four­nir une aide pré­cieuse pour monter une opé­ra­tion d’infiltration dans le châ­teau.

Le scé­na­rio s’achève avec la fuite des PJ accom­pa­gnés de Bereg avec en main le par­che­min qui se trouve dans le coffre de Targen. Ils peuvent éga­le­ment pré­ve­nir Aiwen­dis de la pré­sence de son père dans les geôles voire de ren­ver­ser Mico­nur avec l’aide des anciens suite à cette révé­la­tion. La tâche n’est pas aisée et peu finir en car­nage. Si les PJ s’en sortent bien et qu’ils avaient aupa­ra­vant exprimé leur inté­rêt à propos du signe du chat, Aiwen­dis les récom­pense en leur don­nant un linge blanc très beau marqué du Chat Blanc. Elle sait qu’il date d’Ardumir. En fait c’est son lange, brodé par Beru­thiel elle-même mais ça Aiwen­dis ne le sait pas. Il fait office de porte-bon­heur si un PJ le garde sur lui.

Développements

Annexe A : Le parchemin contenu dans le coffre du Hir Ossarnen

Ana­rhen
Hir Calen­hir des Pin­nath Gelin

Anno­noi­syr
Hir Hali­tan d’Harondor

Sor oncassa (Dulgî)
Hir Ossar­nen du Lame­don

Anar­collo
Hir Fanui­lond du Leben­nin

Cal­ma­cil
Hir Tar­nost du Bel­fa­las

Annexe B : Plan du château

La tour prin­ci­pale
Un esca­lier relie la salle de com­man­de­ment, peu uti­li­sée mais conte­nant une carte détaillée de la région, et la biblio­thèque. Celle-ci est pous­sié­reuse et contient de nom­breux ouvrages d’histoire et de géo­gra­phie notam­ment quelques exem­plaires ont pour thème les pre­mières colo­ni­sa­tions númenó­réennes au nord-ouest de la Terre du Milieu. En fouillant un peu, il est pos­sible de trou­ver un traité des arts éso­té­riques per­met­tant de maî­tri­ser les sorts sui­vants :

La plu­part du temps ces salles sont inoc­cu­pées. Seuls Mico­nur et Cele­bras uti­lisent ces salles pour être tran­quilles. Mico­nur uti­lise le pas­sage secret entre les appar­te­ments de Targen et la biblio­thèque ainsi que l’escalier secret reliant la salle de com­man­de­ment aux geôles.

Les geôles
En appa­rence les pri­sons ne sont pas uti­li­sées, aucun garde n’est de fac­tion aux portes des geôles. Il est connu du per­son­nel du châ­teau et des anciens qu’elles n’ont pas été en ser­vice depuis des siècles, lors des guerres contre le peuple des mon­tagnes et autres Dunéens. La pre­mière porte a une ser­rure peu com­plexe mais elle est ren­for­cée de barres de métal. A l’inverse, les portes des cachots sont dif­fi­ciles à cro­che­ter mais leur bois a com­mencé à pour­rir du fait que la prison n’a pas été entre­te­nue depuis long­temps. Cele­bras pos­sède la clef de la porte menant aux cachots ainsi que les clefs les ouvrant.
La forge du châ­teau
Elle est uti­li­sée pour des menues répa­ra­tions et la fabri­ca­tion d’objets simples. Forger des objets plus éla­bo­rés avec les outils à dis­po­si­tion est chose mal­ai­sée
Les dor­toirs des gardes
Ils sont scin­dés en deux. Les anciens occupent les dor­toirs de la garde d’élite. Les nou­veaux, eux, sont dans les dor­toirs du mur nord.

Fichiers


Pour les fichiers .markdown, préférer un clic droit et sélectionner
« Enregistrer le lien sous... »