Ents


Les Ents © Léo pour la Cour d’Obéron


Avant que le fer ne fût trouvé ou l’arbre abattu,
Quand la mon­tagne était jeune sous la lune,
Avant que l’Anneau ne fût forgé, ou le mal­heur ourdi,
Il par­cou­rait les forêts au temps jadis.

Origines

Les Ents furent crées à partir d’une sug­ges­tion de Yavanna, qui ne vou­lait pas voir les olvar, et spé­cia­le­ment les arbres, lais­sés sans défense face à Melkor, et à tous les autres dan­gers qu’il pou­vait y avoir, aussi sont-ils aussi appe­lés « les Gar­diens des Arbres », ou « les Ber­gers des Arbres ». Ils devaient peu­pler les forêts et les bois d’Arda, pour les pro­té­ger et en prendre soin, jusqu’à ce qu’arrive la Domi­na­tion des Hommes. Il est dit qu’ils sont « le peuple le plus ancien à sur­vivre encore en ce Tiers Âge », on peut donc penser qu’ils se sont éveillés avant même les Elfes (au Prin­temps d’Arda ?).

Ce sont les Elfes qui don­nèrent aux Ents la volonté de s’exprimer par la parole, bien long­temps avant.

Histoire

Au Pre­mier Âge, les Ents inter­vinrent lors de la retraite des Nains de Nogrod qui avaient atta­qué Mene­groth, et avaient sur­vécu à l’assaut de Beren et des Elfes Verts. Ils empor­tèrent tous les Nains dans les pro­fondes forêts d’Ered Lindon, d’où, dit-on, aucun ne revint. Les Ents n’ont jamais beau­coup appré­cié les Nains et leurs haches, qui ont coupé beau­coup d’arbres. Après cela, ils ne firent plus parler d’eux pen­dant bien long­temps.

Après la sub­mer­sion du Bele­riand, ils peu­plèrent par­ti­cu­liè­re­ment la grande forêt qui s’étendait depuis la Vieille Forêt dans le nord jusqu’à Fan­gorn, mais qui a été peu à peu déboi­sée (sur­tout à cause des besoins númenó­réens en bois). C’est aussi au Second Âge qu’eut lieu la sépa­ra­tion avec les Ents-femmes.

Les Ents-femme aimaient les jar­dins bien orga­ni­sés, au contraire de leurs homo­logues mas­cu­lins qui pré­fé­raient les forêts et les arbres sau­vages et libres. Elles orga­ni­sèrent donc leurs jar­dins autour de l’Anduin, se sépa­rant déjà ainsi un peu des autres Ents qui s’y ren­daient rare­ment, mais gagnèrent un grand res­pect parmi les hommes, à qui elles ensei­gnaient l’agriculture. Mal­heu­reu­se­ment, avec la guerre et les méfaits de Sauron, et par­ti­cu­liè­re­ment sa poli­tique de la terre brûlée pra­ti­quée devant les armées de la Der­nière Alliance, ces jar­dins furent rava­gés, ils devinrent les Terres Brunes, et les Ents-femmes dis­pa­rurent. Ainsi les Ents sont-ils condam­nés à dis­pa­raître, même s’ils sont vir­tuel­le­ment immor­tels, faute de des­cen­dance. Long­temps, les Ents cher­chèrent les Ents-femmes à tra­vers le monde, et les Elfes chantent cette quête déses­pé­rée, mais sans jamais les retrou­ver. On peut éla­bo­rer plu­sieurs hypo­thèses sur le sort des Ents-femmes :

Au Tiers Âge, il appa­raît que les Ents sont confi­nés à la forêt de Fan­gorn, et que la plu­part des gens ignorent tota­le­ment leur exis­tence, ils ne sont qu’une légende pour les gens de Rohan, et Ara­gorn lui-même dou­tait de leur exis­tence. Ils sont assez pas­sifs, cer­tains deve­nant de plus en plus sem­blables à des arbres. Tou­te­fois, à la fin du Troi­sième Âge, har­ce­lés par les Orcs de l’Isengard, au ser­vice de Sarou­mane, qui ont besoin de bois pour leurs feux et qui ravagent la forêt, on res­sent chez eux un grand mécon­ten­te­ment. C’est quand Syl­ve­barbe trou­vera Merry et Pippin, qui viennent d’échapper aux griffes des Orcs, en 3019, qu’ils se déci­de­ront enfin à agir. Les deux Hob­bits don­ne­ront beau­coup de nou­velles au vieil Ent, qui ras­sem­blera ses sem­blables dans la Chambre des Ents, et, après moult déli­bé­ra­tions, atta­quera l’Isengard. Leur attaque sera fou­droyante, et la for­te­resse de Sarou­mane sera entiè­re­ment rava­gée, allant jusqu’à dévier le cours de l’Isen. Les Huorns aussi furent envoyés, pour se débar­ras­ser de l’armée des Orcs au Fort le Cor. Pen­dant le reste de la Guerre de l’Anneau, les Ents sur­veillèrent l’Isengard, désor­mais « le Clos d’Orthanc ». Ils inter­ce­ptèrent aussi une armée d’Orc qui se ruait sur le Rohan. Plus tard au Qua­trième Âge, la vallée d’Isengard fut lais­sée à leur garde, même si Orthanc rele­vait de l’autorité du Roi de Gondor et d’Arnor.

Aspect Général

« Les Ents, dit Pippin, les Ents sont… enfin, les Ents sont dif­fé­rents, pour com­men­cer. Mais leurs yeux, leurs yeux sont très curieux ».

Les Ents sont très dif­fé­rents les uns des autres, aussi dis­sem­blables que des arbres d’essences dif­fé­rentes, ou que des arbres qui n’ont pas eu la même crois­sance. Ainsi la cou­leur, la taille, le nombre de doigts, la cir­con­fé­rence, etc., varient beau­coup d’un Ent à l’autre. Ils mesurent approxi­ma­ti­ve­ment quatre mètres de haut (bien que cela soit variable), sont très robustes, et n’ont presque pas de cou, et une grande tête. En raison de leur « rigi­dité », ils sont qua­si­ment inca­pables de se cour­ber, tout comme des arbres. Leur peau res­semble à de l’écorce, et leurs yeux sont la partie la plus sai­sis­sante de leur ana­to­mie : bruns, par­fois mêlés de vert, et très péné­trants. Voici la des­crip­tion qu’essaye d’en faire Pippin :

« On aurait dit qu’il y avait der­rière un énorme puits, rempli de siècles de sou­ve­nirs et d’une longue, lente et solide réflexion ; mais la sur­face scin­tillait du pré­sent : comme le soleil qui miroite sur les feuilles exté­rieures d’un vaste arbre ou sur les ondu­la­tions d’un lac très pro­fond. Je ne sais pas, mais on avait l’impression d’une chose qui pous­se­rait dans la terre — d’endormie, pour ainsi dire — ou qui sen­ti­rait entre l’extrémité de la racine et le bout de la feuille, entre la terre pro­fonde et le ciel, se serait sou­dain éveillée et vous consi­dé­re­rait avec la même lente atten­tion qu’elle aurait consa­crée à ses propres affaires inté­rieures, durant des années sans fin ».

Ces yeux sont révé­la­teurs de la per­son­na­lité des Ents : ils sont calmes, posés, mettent beau­coup de temps à prendre une déci­sion, car ils doivent d’abord appré­cier tous les aspects de chaque ques­tion, et ils n’aiment pas les choix hâtifs, consi­dé­rant sou­vent les autres peuples comme trop « irré­flé­chis » ou « pré­ci­pi­tés », et il faut du temps et de la per­sua­sion pour les sortir de leur tor­peur. Cet état très réflé­chi confine sou­vent à la tor­peur, et il arrive que des Ents deviennent « arbresques », de plus en plus sem­blables à de vrais arbres. À l’inverse, cer­tains arbres sont éveillés, ou à demi éveillés, et ils deviennent plus « entesques ».

« Bien ! Bien ! dit Syl­ve­barbe. Mais j’ai parlé trop vite. On ne doit pas être trop pressé. Je me suis trop échauffé. Je dois me calmer et réflé­chir ; car il est plus facile de crier Assez ! que de les obli­ger à s’arrêter ».

Mais ceci n’est qu’une facette de l’aspect des Ents, comme dit Pippin, il y a en eux « toute la dif­fé­rence qui existe entre une vieille vache cou­chée qui rumine pen­si­ve­ment et un tau­reau qui charge ». Lorsque ce chan­ge­ment inter­vient, il vaut mieux être du côté des Ents, leur force est colos­sale, leur colère ter­ri­fiante, ils font comme les racines qui fendent la pierre, mais bien plus rapi­de­ment, et le trai­te­ment qu’ils infligent à l’Isengard après que Sarou­mane ait voulu uti­li­ser un de ses sor­ti­lèges sur eux en est bien révé­la­teur :

Cela les rendit furieux. Je les croyais déjà vrai­ment montés, mais je me trom­pais. Je vis enfin ce qu’était leur réveil. C’était ren­ver­sant. Ils rugis­saient, ils gron­daient, ils trom­pe­taient au point que les pierres com­men­cèrent à cra­quer et à tomber au seul vacarme qu’ils fai­saient. Merry et moi, nous nous cou­châmes par terre, les oreilles emmi­tou­flées dans nos man­teaux. Les Ents tour­nèrent maintes et maintes fois à grandes enjam­bées autour d’Orthanc, véri­table tem­pête hur­lante, bri­sant les colonnes, pré­ci­pi­tant des ava­lanches de pierres dans les trous d’aération, jetant en l’air d’énormes dalles de pierre comme de simples feuilles. La tour était au centre d’une trombe. Je vis des mon­tants de fer et des blocs de maçon­ne­rie monter en chan­delles à des cen­taines de pieds et aller fra­cas­ser les fenêtres d’Orthanc.

Les Ents sont plus solides que des arbres, forts comme « les os de la terre », et par consé­quent dif­fi­ciles à abattre. Ils sont insen­sibles aux flèches, ne peuvent être empoi­son­nés, et il faut un coup par­ti­cu­liè­re­ment violent pour les bles­ser, à moins d’un coup de magie, ou bien du feu, auquel ils sont par­ti­cu­liè­re­ment sen­sibles.

Les Ents ne semblent pas avoir besoin de se nour­rir, ils ne font que bras­ser une cer­taine bois­son, aux étranges pro­prié­tés. Lorsqu’ils doivent se réunir pour débattre, ils le font dans « la Chambre des Ents », leur assem­blée.

Ils sont assez méfiants par rap­port aux autres peuples, qu’ils consi­dèrent comme irré­flé­chis, mais les Elfes ont leur pré­fé­rence, car eux aussi tra­versent les siècles et aiment les arbres et la nature, et ce sont eux qui leur ont apporté le désir de parole. Ils n’aiment pas trop les Nains et leurs haches, qui ont besoin de bois pour leurs feux, mais sont réso­lu­ment les enne­mis des Orcs, qui sac­cagent les forêts juste pour le plai­sir, et des Trolls, qu’ils ne consi­dèrent que comme des contre­fa­çons d’eux-mêmes. Ceci dit, ils ne sont du « côté » de per­sonne, ne ser­vant que leurs propres inté­rêts, et ne se sou­ciant pas des affaires exté­rieures. Ils parlent leur propre lan­gage, lent, agglu­ti­nant, répé­ti­tif, pro­lixe, com­por­tant une infi­nité de nuances, et impos­sible à repro­duire par écrit. Ils aiment aussi les langues des Elfes, par­ti­cu­liè­re­ment le Quenya (qu’ils mélangent quel­que­fois à leur langue), et parlent aussi géné­ra­le­ment le Lan­gage Commun, qu’ils appellent « lan­gage bref ».

Les Huorns

Les Huorns sont des Ents qui sont presque rede­ve­nus à l’état sau­vage, à l’état d’arbres, quant à l’aspect au moins. Ils res­tent silen­cieux, obser­va­teurs, guet­tant ce qui se passe tout autour d’eux. Ils sont très nom­breux. Il est par­fois dif­fi­cile de les voir bouger, mais ils peuvent le faire très rapi­de­ment, et s’entourer d’ombres ou de brumes s’ils le dési­rent. Ils peuvent com­mu­ni­quer avec les Ents. Ils sont sau­vages, méfiants, et peuvent se révé­ler très dan­ge­reux. Les autres Ents doivent tout le temps les sur­veiller. Pen­dant la Guerre de l’Anneau, ils suivent les Ents, puis vont vers le sud, pour s’occuper des Orcs. Au matin, ils forment une véri­table forêt près du Fort le Cor, dont aucun Orc n’échappera. Si cer­tains Huorns ont peut-être un cœur véri­ta­ble­ment mau­vais, tel le vieil Homme-Saule de la Vieille Forêt, la plu­part ne sont pas véri­ta­ble­ment mau­vais, mais juste farouches et hos­tiles envers les êtres mar­chants sur deux pattes, et ils détestent les Orcs.

« Ce sont les arbres les plus étranges que j’aie jamais vus, dit-il, et j’ai vu bien des chênes croître du gland jusqu’à un âge déla­bré. Je vou­drais bien qu’il y eût le loisir de se pro­me­ner parmi eux : ils ont des voix et, avec le temps, j’arriverais peut-être à com­prendre leur pensée ».

« Non, non ! s’écria Gimli. Lais­sons-le tran­quille ! Je la devine déjà, leur pensée : la haine de tous ceux qui vont sur deux pattes ; et leur dis­cours parle d’écrasement et d’étranglement ».

« Pas tous ceux qui vont sur deux pattes, dit Lego­las. Là, je crois que tu te trompes. Ce sont les Orcs qu’ils haïssent. Car ils ne sont pas d’ici, et ils savent peu de choses des Elfes et des Hommes. Bien loin sont les val­lées où ils crûrent. Des pro­fondes combes de Fan­gorn, voilà d’où ils viennent, je pense, Gimli ».

Autres noms

Ents est leur nom dans la langue des Rohir­rim, il a aussi été donné à la forêt de Fan­gorn, qui est par­fois appelé Forêt d’Ent. Enyd, ou Ono­drim (sin­gu­lier Onod) sont leurs noms en Sin­da­rin. Ils sont aussi sur­nom­més les Gar­diens des Arbres, ou les Ber­gers des Arbres. Sarou­mane les sur­nomme « Les Sau­vages Démons de la Forêt ».

Les Ents de la Terre du Milieu

Personnages Ents © Léo pour la Cour d’Obéron

Bregalad

« Jeune » Ent de la forêt de Fan­gorn, appar­te­nant à la race des Peau­rudes. Son nom signi­fie Vif­sor­bier, et il est géné­ra­le­ment appelé ainsi (en anglais : Quick­beam). Il est l’Ent le plus « pré­ci­pité », agis­sant géné­ra­le­ment plus rapi­de­ment que ne le feraient d’autres. Il sert de com­pa­gnons aux Hob­bits pen­dant l’assemblée des Ents, car il a déjà fait sa déci­sion, son peuple ayant été décimé par les Orcs d’Isengard. Sa bonté n’en fait qu’un ennemi plus acharné de l’Isengard et de Sarou­mane.

[…] Mais la nuit était plus avan­cée, les étoiles répan­dirent une grande clarté, tout à fait suf­fi­sante pour la vue des Ents, et sou­dain Vif­sor­bier s’écria : « Le tueur d’arbres, le tueur d’arbres ! » Vif­sor­bier est d’une nature douce, mais il n’en hait Sarou­mane que davan­tage : les siens ont cruel­le­ment souf­fert de la hache des Orcs. Il s’élança dans le chemin qui des­cend de la porte inté­rieure et il est aussi rapide que le vent quand il est monté. Une forme pâle s’enfuyait, sor­tant par­fois de l’ombre des colonnes pour y replon­ger, et elle avait déjà presque atteint l’escalier de la porte de la tour. Il s’en fallut de peu : Vif­sor­bier la pour­sui­vait avec tant d’acharnement qu’il n’était plus qu’à un ou deux pas de l’attraper et de l’étrangler quand elle se glissa par la porte.

Fangorn

Un regard bizarre se montra dans les vieux yeux, une sorte de cir­cons­pec­tion ; les puits pro­fonds étaient de nou­veau recou­verts. « Eh bien, hrum, répon­dit la voix ; enfin, je suis un Ent, ou c’est ainsi qu’on me nomme. Oui, Ent, c’est le mot. L’Ent, que je suis, pour ainsi dire, dans votre façon de vous expri­mer. Selon cer­tains, mon nom est Fan­gorn ; d’autres disent Syl­ve­barbe. Syl­ve­barbe convien­dra ».

À l’époque de la Guerre de l’Anneau, il est le plus âgé des Ents de la forêt de Fan­gorn, qui porte son nom, et aussi l’Ent le plus âgé au monde, cer­tai­ne­ment un des plus anciens de tous ceux qui furent créés, au Pre­mier Âge il par­cou­rait déjà les forêts du Bele­riand. Quand il décou­vrit les Hob­bits Merry et Pippin dans sa forêt, en 3019, il eut avec eux une longue conver­sa­tion, au cours de laquelle ils lui don­nèrent de nom­breuses infor­ma­tions sur le monde exté­rieur. Fan­gorn était irrité envers Sarou­mane et ses Orcs, cou­pables de nom­breux méfaits dans la forêt. Il convo­qua alors la Chambre des Ents, pour les convaincre de partir atta­quer l’Isengard, et cette entre­prise fut cou­ron­née de succès. Il est aussi sûre­ment res­pon­sable de l’arrivée des Huorns au Gouffre de Helm. Plus tard, il libéra Sarou­mane, croyant qu’il était devenu inof­fen­sif, alors que le magi­cien avait en fait sûre­ment abusé de sa grande bonté. Il devient cer­tai­ne­ment gar­dien du Clos d’Orthanc au Qua­trième Âge.

C’est un grand Ent, qui res­semble à un chêne ou un hêtre, un meneur parmi les siens, vieux et sage, calme et réflé­chi, même s’il semble plus actif et vif que beau­coup d’autres Ents. Sa « demeure » est la Salle du Jaillis­se­ment. Après les avoir ren­con­trés, il aime beau­coup les deux Hob­bits Merry et Pippin, et il semble beau­coup appré­cier Gan­dalf « le seul magi­cien qui se soucie des arbres ».

Il est aussi appelé Syl­ve­barbe (en anglais : Tree­beard), qui est la tra­duc­tion de Fan­gorn. Cele­born l’appelle l’Aîné.

Fimbrethil

Une Ent-Femme, aimée de Fan­gorn, appe­lée en Wes­tron Mem­bre­jonc (en anglais : Wand­limb).

Finglas

Avec Fla­drif et Fan­gorn, un des plus anciens Ents de la forêt de Fan­gorn. Son nom signi­fie Bou­cle­feuilles, et il est sou­vent appelé ainsi (en anglais : Lea­flock). Il est assez « arbresque », som­nolent.

Fladrif

Avec Fin­glas et Fan­gorn, un des plus anciens Ents de la forêt de Fan­gorn. Son nom signi­fie Peau­rude, et il est sou­vent appelé ainsi (en anglais : Skin­bark). Il vivait juste à l’ouest de l’Isengard, mais a été blessé par des Orcs, et beau­coup de ses arbres ont été détruits. Depuis, il reste parmi les bou­leaux qu’il aime plus que tout.

Osdehêtre

En anglais : Beech­bone. Un grand et bel Ent, qui fut brûlé à mort par les malé­fices de Sarou­mane lors de l’attaque des Ents sur l’Isengard. Après ça, les Ents devinrent encore plus ter­ribles dans leur cour­roux.


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