09 · Structure de la Moria

La Moria comprend une Cité virtuellement auto-suffisante et un complexe minier, les deux ayant été façonnés sur une période temporelle considérable et sur une échelle sans précédent. Créée par des architectes inspirés, des ingénieurs astucieux, des mineurs spécialisés, et des maçons talentueux, c’est la plus grande forteresse jamais construite par un Peuple Libre. C’est aussi l’un des ensembles les plus imposants des Terres du Milieu, car la Moria est un mariage entre une merveille naturelle remarquable et celle du savoir-faire des Nains.
Les cadeaux de la nature
Les cavernes grossières que Durin l’Immortel découvrit au dessus de l’Etang-Miroir conduisaient profondément dans le cœur des Monts Brumeux. Ici gisent les débris de l’influence érigée par Morgoth, et s’y trouvait la jonction entre Endor et son Monde Souterrain. Dans des cavernes sans souillure, au plus haut des sommets perdus dans les nuages, et à cheval sur des gouffres, Durin trouva la puissance de la terre dans toute sa gloire. La destinée parla et, dans l’enceinte de ces chambres dispersées et de ces tunnels torturés, il fonda Khazad-dûm. La Moria inspira le respect bien avant que le premier coup de pioche lui fut porté. Les Nains s’y déplaçaient et taillaient leurs propres joyaux précieux du don brut mais fantastique de la Nature. Mineurs et bâtisseurs, les Naugrim considérèrent Khazad-dûm comme un legs d’Aulë, un défi toujours riche avec tout ce dont ils avaient besoin. Ils travaillèrent infatigablement pendant les cinq millénaires et demi suivants pour améliorer et agrandir les gouffres naturels, les conduits de lave, les lits asséchés des rivières souterraines, les cavernes de calcaire, les failles dans les voûtes et les anciennes chambres d’expansion des gaz. Les mineurs Nains tirèrent des richesses des plus lointaines régions au cœur des montagnes. Les ingénieurs Nains établirent la lumière et l’eau.
Lumière et eau
Les Khazad sont des maîtres dans la construction, capables de percer virtuellement toute roche dans tous pays. Où qu’ils soient, peu d’obstacles ralentissent leur course. Cependant, les Nains reconnaissent la valeur de la Terre et de ses profondeurs, et savent comment préserver et cultiver sa bonté. Les structures des Nains utilisent la force du pays.
Bien qu’enfouie sous de grandes montagnes, la Moria est atteinte par quelques rayons de lumière et par la bonne eau fraiche en abondance. Des rayons de Soleil et de la Lune piquent à travers des crevasses étroites, diffusant une lumière naturelle dans les chambres situées près de la surface. De l’eau de source se niche dans des grottes retirées, et des torrents bruyants se déversent à travers de sauvages endroits. Aménagés par des Naugrim, les puits à lumière fournissent une ventilation et une ambiance, pendant que les sources d’eau procurent de la puissance et rassasient la soif des Nains.
Les fenêtres
Les « fenêtres » de la Moria sont des ouvertures rectangulaires sculptées dans des fissures naturelles. De 6,3 m de long et de 0,9 m de large, elles apportent la lumière et l’air de la surface aux chambres les plus au nord, les plus à l’ouest, les plus à l’est de chacun des Sept Etages. Chacune consiste en un puits en pierre polie, qui est équipé d’au moins sept grilles en acier et de un à trois pièges. En période de tempête ou de guerre, les défenseurs peuvent glisser trois volets en acier renforcé en travers des ouvertures, fermant hermétiquement la Cité. De telles crises sont rares, de toute façon, car la longueur en à-pic des parois des fenêtres les gardent contre nombre de dangers (certains traversent les flancs de la montagne sur des centaines de mètres). Actuellement, la fermeture périodique des volets des fenêtres est requise afin de préserver les rouages du givre ou d’autres détériorations dues à la non-utilisation.
Les occupants de la Moria s’occupent des parois des fenêtres par l’intermédiaire de conduits de travail intérieurs de 4,2 m sur 4,2 m qui s’ouvrent au dessus de chaque grille et en dessous de tout piège avoisinant. Ces ouvertures intérieures relient les puits de lumière à des couloirs long de 2,10 m qui mènent aux passages d’accès inclinés de 2,1 m sur 0,9 m. Des échelons en fer fixés dans la pierre brute permettent aux Nains de descendre aux halls de l’étage voisin.
Les eaux
Comme les puits à lumière, la plupart des plans d’eau naturels et voies d’eau de la Moria ont été modifiées conformément aux besoins des Nains. Ceux qui ont échappé aux mains des travailleurs ont été apprécié pour leurs charmes enchanteurs ou spectaculaires. Les autres eaux ont été canalisées à travers des conduits en cuivre ou en terres alignées, ces dernières ayant une surface lisse d’obsidienne ou de sciure de marbre.

Chacun des Étages et des Profondeurs possède trois aqueducs principaux que les Naugrim appellent « Passages à eau » (Kh. « Zirim-ligil »). De 2,1 m de diamètre, ces conduits gaînés de pierre s’inclinent toujours à partir de la ligne de partage des eaux. La plupart vont soit vers le nord-est, soit vers le nord-ouest, portant leurs flots aux citernes d’évacuation qui nourrissent respectivement le cours d’argent et le Sirannon. Quelle que soit leur direction, ils débutent à l’une des trois sources, les énormes halls des Sources (Kh. « Zurim-Dim ») qui se trouvent haut dans le ventre du pic d’argent.
Les halls des Sources sont de grandes chambres circulaires en marbre avec des plafonds voûtés et des gouttières insérées dans les murs. Chacun exhibe un grand réservoir qui remplit un vaste puits, profond de plusieurs centaines de mètres. Approvisionnés par des douzaines de petites chutes qui cascadent des gouttières comme des rubans d’argent, ces puits de source réunissent la plus grande partie de l’humidité récupérable de la Moria. L’eau collectée de centaines de petits ruisseaux et sources est réunie ici avant d’être dirigée dans les Passages à eau de la Cité.
A l’intérieur de chaque Puits des Sources, se trouvent sept Portes d’écoulement. Celles-ci sont reliées à des chaînes qui vont, à travers des tubes, vers le haut des Halls des Sources. En utilisant des treuils à poulies, les Gardiens des eaux Nains peuvent contrôler les portes et libérer l’eau dans les aqueducs selon les besoins. Ceci permet aussi au Puits des Sources de drainer, équilibrant ainsi le flux. Normalement les Portes sont entrebâillées en positions standard, mais le changement de saison modifie les précipitations qui tombent et force invariablement les Nains à les ajuster.

Une fois que l’eau est entrée dans l’un des Passages à eau, elle descend graduellement vers l’une des vingt et une citernes d’évacuation. Le long du trajet, qui peut être de 56 km, elle est ponctionnée par les Naugrim qui en ont besoin. Des robinets disposés sur le côté de l’aqueduc ou situés à l’extrémité des conduits en cuivre annexes permettent aux Nains d’accéder aux ressources en eau partout dans la Moria. Des plans d’eau et des bassins de retenue locaux sont presque toujours pleins.
La perte est récupérée, néanmoins, quand le Passage à eau capte les flots de ruisseaux plus petits qui sont canalisés depuis les zones extérieures des montagnes. Des rigoles en Cuivre transportent ces frais cours d’eau vers les bas par des tunnels et à travers beaucoup de halls secondaires de la Moria. Par ce biais, les ingénieurs Nains aménagent à peu près tous les ruisselets d’écoulement, et ils ne les abandonnent que lorsqu’ils ont servis la Maison de Durin.
Les minéraux
La Moria est le dépositaire d’autres formes de richesses naturelles comme, bien sûr, les gemmes et les métaux. Le don le plus fabuleux est la veine de Mithril qui court vers le nord sous le Rubicorne, mais d’autres éléments permettent une autosuffisance et une force durable. L’Argent et le Fer apportent du minerai en abondance, comme le font les dépôts massifs de quartz qui contiennent de l’Agate, de l’Améthyste, de la Chalcédoine, de la Cornaline, du Silex, du Jaspe et de l’Opale. Des filons de Cuivre, d’Etain et de Bauxite sont dispersés un peu partout dans les mines. L’Or abonde en quantité, et un bouchon de Diamant remplit une fissure volcanique profondément en dessous de l’aile sud-ouest du Pic d’Argent. Cette collection de richesses est sans pareil en Endor et prouve la prévoyance de Durin l’Immortel : Khazad-dûm est vraiment le cœur de la terre. De tous les lieux des Terres du Milieu, il a reçu la plus grande bénédiction d’Aulë.
Les métaux
Les mineurs de la Moria exploitent toute source de métal exploitable utilisé par les Naugrim. Nombre des réserves, comme l’Etain et le Cuivre, sont adéquates pour les besoins locaux. D’autres comme l’Argent ou le Fer, s’ajoutent au commerce de base. L’Or précieux et l’ultra précieux Mithril forment le noyau du trésor de Khazad-dûm et de ses réserves. Les alliages enchantés — Adarcer, Eog, Ithildin, Ithilnaur, Ogamur et Tasarang — permettent aux Nains de créer des ouvrages spécialisés d’une superbe qualité et d’une incroyable utilité.
Les descriptions de la multitude des métaux de la Moria sont connues, bien qu’une dépeinte par Eldacil Camthalion d’Andrath est probablement la plus précise. Prince réfugié de la guerre du Roi-Sorcier contre Cardolan, il arriva à Khazad-dûm aux environs de 3A 1410. C’était un guerrier passionné qui avait un bon œil pour l’armement et qui reconnaissait un acier fin au toucher de ses doigts. Le journal d’Eldacil, maintenant à Imladris (Rivendell), rapporte son expérience dans la visite des mines et des armureries de la Moria. L’extrait le plus enflammé en est sans doute un de ceux de la dernière semaine de Cerveth, 1410.
« L’arsenal du Seigneur Fulin me stupéfie. Non, il excite mon esprit martial. Les armureries d’Arthedain et de Cardolan sont de pâles assemblages. Celles de la Moria brillent. Leurs armes luisent comme des joyaux. J’ai vu toute sorte d’armes, toutes gravées ou incrustées d’argent, d’or ou de magique Ogamur. Le feu se répand de ces lames et, même vis-à-vis d’un couteau long, mon ancienne épée à deux mains parait pauvre.
« J’avais vu des armes fines en Fornost. Le bon acier n’est pas inconnu, ni l’Ithilnaur. Mais ils sont courants parmi les Seigneurs de la Moria. Ils ont des armes en des matières encore plus dures, notamment l’Eog, et une foule d’alliages à base de Mithril. J’ai vu aussi nombre de métaux extrêmement flexibles, mais très résistants, que les Nains utilisent pour leurs occupations particulières. Mon pinceau ne peut en révéler toutes les propriétés, mais en voici quelques-unes :
Adarcer : C’est un alliage blanc, une fusion d’Ang (Fer), de Glôin (vrai charbon) et de Durang (« sombre fer » ou titane). C’est extrêmement solide, mais quelque peu rigide et difficile à travailler une fois déjà forgé. Je l’ai vu fendre du fer sans s’émousser.
Alcam (S. « Etain ») : Ce doux métal argenté est normalement utilisé pour faire l’alliage Evyth, bien que les Nains s’en servent pour garnir les bassins à eau, ou pour nombre de leurs filigranes décoratifs. Il est clair qu’il y a moins d’Alcam dans la Moria qu’il y en avait chez les Nains des Montagnes Bleues, mais cela doit être dû à une richesse en métal de meilleure qualité. Le seul gisement d’Alcam de Khazad-dûm se trouve dans les mines sud-est de la deuxième Profondeur.

Ang (S. « Fer ») : L’ang pur est blanc argent et aussi bien malléable que ductile, Même dans la Moria, il est cependant rare. Une règle des Nains, et je l’approuve, dit que tout ce qui est virtuellement de l’Ang pur est de l’Ang. L’Ang commun est gris sombre et dur, bien que pliable. L’Ang se trouve partout dans les mines du Nord des Profondeurs, à chaque niveau et jusqu’au centre de Rubicorne.
Borang (S. « Fer ferme » ou « acier ») : Cet alliage argenté est le préféré des Naugrim. Résultat de la fusion d’Ang, de Morasarn (carbone) et de petites quantités d’un ou de plusieurs métaux différents, il est résistant et durable. Le Borang résiste mieux que l’Ang, et il est meilleur marché et plus flexible que l’Adarcer.
Celeb (S. « Argent ») : Les Nains accumulent souvent leur celeb, mais il y en a assez dans la Moria pour en faire d’autres usages. Ici, ils l’utilisent pour des incrustations décoratives, des calices, des plats, des coupes, des timbales, des cornes, et virtuellement partout où ils peuvent se servir du Mal (Or), mais cela donne un résultat moyen d’apparence. De plus, en dépit de sa malléabilité, le Celeb est plus résistant que le mal. D’abondantes veines de Celeb se trouvent dans les étendues occidentales des mines, de la première à la troisième Profondeur.
Eog (du « Fer d’Eöl »; S. « Ang Eöl ») : L’Eog est sans nul doute le plus rare des métaux de la Moria. Il provient de la fusion du Mithril, du Durang et de quelques matériaux inconnus, venant apparemment des mains d’une recette Elfique de la Maison d’al, Fulin me dit que les forges aussi bien les plus chaudes que les plus froides de Khazad-dûm étaient nécessaires à sa fabrication, et je le crois. La matière est fameusement résistante certainement plus que l’Ardaner, et parait même plus résistante que l’lthilnaur. Elle a aussi une étrange apparence. J’ai vu des variétés blanches et rouges et aucun n’avait d’éclat.
Evyth (S. « Bronze ») : L’Evyth est un métal doré formé d’Alcam et de Paer. Les Nains l’utilisent pour la décoration, ou en font le commerce avec les Hommes de Rhovanion.
Galnin (S. « Blanc Brillant » ou « Aluminium ») : Je n’ai qu’entendu parler du Galnin ; je ne pense pas en avoir vu. Il est blanc argenté, apparemment comme l’Alcam ou le Celeb, mais il est plus léger et ne se ternit, ni se corrode. J’ai entendu dire que le Galnin ne se trouvait que mélangé à un minerai trouvé en hauteur de la partie sud-ouest des mines de la Septième Profondeur, Seuls d’intenses feux peuvent séparer le métal de son minerai, et cela doit être la raison de sa rareté. Il n’est pas aussi résistant que l’Ang et, les Nains aimant le matériel robuste, je suspecte qu’ils n’en ont pas grand usage.
Ithildin (S. « Lune- étoile ») : C’est un métal elfique mou et argenté, produit de la fusion du Mithril et d’autres substances. J’y étais habitué en raison de mes visites à la cour d’Aveleg I en Fornost et d’une aventure dans les glorieuses ruines d’Annùminas. Rare et étrange, l’Ithildin est utilisé pour les inscriptions secrètes et autres buts magiques. Comme il ne peut être visible qu’à la lumière de la Lune ou des étoiles, les Nains l’emploient à l’extérieur ou en dessous des fenêtres.
Ithilnaur (S. « Feu Lunaire ») : L’lthilnaur est étonnamment courant dans la Moria, pour son utilisation en pièces de valeur et dans les grands armements. Comme l’Ithildin, il est fait à partir du Mithril et apparaît aussi magnifique que le pur Celeb. A l’inverse de l’Ithildin, il est dur et fournit de superbes armes ou armures.
Mal (S. « Or ») : La Moria est pleine de Mal, que les Nains estiment au-dessus de tous les autres métaux, sauf le Mithril. Sa couleur dorée séduit le Peuple trapu et souvent lui inspire des passions peu cordiales. Il est trop mou pour de dures tâches, mais il a ses mérites. Le Mal ne se ternit pas et il est reconnu comme ayant de la valeur par tous les Peuples. Quand ils n’accumulent pas le noble métal, ils s’en servent pour frapper de la monnaie et pour toutes sortes de travaux du métal destiné à la décoration au protocole. Le Mal est exploité dans les sections ouest et nord des mines de la Moria, particulièrement de la Première à la Quatrième Profondeur. Les veines y sont riches et le Mal y est pur.

Mithril (S. « Brillance Grise » ou « Vrai Argent ») : J’ai grandi avec les contes sur le Mithril de Numénor, mais cette lie n’est plus, et la Moria doit être maintenant la seule source de Vrai Argent. Il ne fait aucun doute que cela contribue à la grande richesse détenue par le Peuple de Durin. Quel que soit le pays que je traverse, où il est connu, il est considéré comme le plus précieux des métaux. Argenté, le Mithril ressemble au Celeb, quoiqu’il ne ternisse jamais et apparaisse toujours poli, 11 est aussi résistant et malléable, et il fournit des métaux enchantés d’une qualité incomparable. Le fameux gisement de Mithril n’est constitué que d’une seule veine. Partant vers le nord depuis la Septième Profondeur, elle s’étend profondément sous le puissant Rubicorne.
Ogamur (S. « De Gamur ») : Les Nains emploient l’Ogamur pour les choses demandant une flexibilité et élastiCité extrêmes. Je n’ai jamais vu une structure, qui est beaucoup moins qu’un métal, qui peut s’étirer autant que cette noire substance. Ses propriétés le rendent idéal pour des produits élastiques et des ouvrages destinés à absorber des chocs. Il est également difficile à obtenir, ce qui explique la raison de son emploi restreint. Fulin m’a dit que c’était un mélange enchanté, hérité d’une maison orientale des Nains du lointain Deuxième Age. Je ne sais rien de plus sur sa fabrication.
Paer (S. « Cuivre ») : La plupart du Paer de la Moria provient des mines de la section nord-ouest, de la Troisième à la Sixième Profondeur. J’ai entendu parler d’une grande découverte dans la Première Profondeur, au cœur du Rubicorne, mais cette rumeur ne fut jamais confirmée. Bien sûr, ce métal rouge-doré se trouve partout en Eriador, spécialement dans les plateaux de Rhudaur, donc il n’a pas autant de valeur, et il n’est qu’une petite part du commerce global. Avant la Guerre avec le Roi-sorcier, les Nains en envoyaient occasionnellement à Tharbad pour faire des pièces, mais la production de la Moria n’a jamais été d’une importance inhabituelle. La plus grande part du Paer de la Moria est employée dans les conduits d’eau et dans les bassins, ou dans la production du plus durable Evyth. Il est trop mou et malléable pour le goût des Nains. Tous les Nains que j’ai rencontrés voient peu de beauté ou d’usages dans ce métal.
Tasarang (S. « Fer souple »; W. « Kraie ») : Au début, je pensais que le Tasarang était de l’Ogamur blanc, mais j’ai très vite réalisé mon erreur quand je pris pour la première fois cette matière dans mes mains. Bien qu’il se plie facilement et qu’il soit extraordinairement élastique, il ne peut être travaillé. Le Tasarang est également extrêmement léger, plus même que le Galnin, comme du bois ou de la pierre ponce. Comme son minerai est blanc comme la craie, pèse peu et est trouvé derrière des intrusions de calcaire, il est appelé « Kraie » dans le Langage Commun. J’ai vu de ce minerai dans les mines les plus à l’ouest de la Cinquième Profondeur et j’ai compris la comparaison. Les chauds et froids puissants utilisés pour fabriquer le métal change sa texture, quoique cela renforce sa teinte blanche. Actuellement, plus d’un de mes compagnons, avec qui j’en parle, pense à son incandescence.
Table : Minerais spéciaux

Bonus : C’est le bonus normal d’une arme de mêlée faite en ce matériau.
Valeur : C’est le prix de 28 g de ce matériau en pièces d’Or standard d’Arthedain. Les prix marques avec un * sont des valeurs approximatives car les Nains ne vendent pas normalement ces matériaux.
Coût : Ouvrage (En pièces d’Or standard d’Arthedain). La Table des Prix et Changes donne les coûts pour les objets et équipements normalement disponibles à l’achat dans la Moria. Le coût de ces objets est usuellement plus bas que la normale car ils sont produits en nombre localement et faits habituellement en acier inférieur. Les objets seraient à un prix plus élevés dans les royaumes humains. Pour les objets qui ne sont pas sur la liste, un ouvrage est requis. Pour obtenir une estimation du coût de l’objet demandé (en sus du coût des matériaux), il faut juste déterminer la quantité (en grammes) des matériaux nécessaires et multiplier par le facteur donné sur la Table. Pour les matériaux usuels dont les prix sont marqués d’un *, la monnaie n’est jamais suffisante ; les Nains doivent normalement avoir d’autres raisons pour effectuer le travail.
Temps : Une estimation du temps requis pour faire un objet est donné en heures par 28 g (basé sur une journée de travail de 8 heures).
Note : Les coûts et les temps sont bien sûr plus élevés pour un travail inhabituel, de fantaisie ou décoratif.
Les pierres
Les mémoires du prince Eldacil commencent seulement à détailler les nombreux métaux de la Moria. L’étalage complet est au-delà du raisonnable, et seul un chroniqueur pourrait le faire.
La tâche de donner un aperçu de la variété de la richesse en pierre de la Moria est même encore plus lourde. Le calcaire, le quartz et le granit sont les plus importantes ; cependant, il y a une quantité considérable d’autres roches. La Moria est aussi le domaine de sédiments vieux de plusieurs milliers d’années, comprenant du schiste argileux et du grès compressés, du marbre et des schistes purifiés, et du basalte volcanique. Le journal d’Eldacil en parle de nombreuses, mais le peu qu’il a sélectionné dans ses notes du mi-Lothron de 1410 domine l’artisanat des Nains.
Naurond (S. « Pierre de feu ») : « Nulle part ailleurs il y a autant de roches volcaniques. Naurond est la pierre qui supporte la Moria ». Derrière chaque façade, sous chaque sol se trouve des Pierres de Feu de différentes espèces. Du granit encadre les chambres proches de la surface, dans les lointaines étendues est, ouest, nord et sud. Des granulations lumineuses couvrent cette pierre grise, tout comme le granit que j’ai trouvé à travers toutes les Landes d’Etten de Rhudaur et sur les Coteaux Septentrionaux d’Arthedain.
Plus à l’intérieur de la montagne, un lisse basalte noir remplace le granit comme pierre de base. Là, les Nains utilisent des blocs de basalte poli pour des murs non exposés et des colonnes structurelles, ainsi que tout le long des sols. Cela rend les pièces et les halls remarquablement solides car le basalte est plus dur et plus lourd que le granit.
J’ai aiguisé mes armes avec une Pierre de Feu du sol, d’une variété légère et délicate. C’est une sorte de pierre ponce qui vient des fameux « Dômes » de la Cinquième Profondeur. Là, le Peuple Trapu extrait de légères Pierres de Feu des parois de gigantesques chambres, semblables à un dôme, qui sont reliées par des centaines de petits tunnels, conduits des gaz, creusés et refroidis avant les Jours Anciens. Les Nains extraient ces pierres ponces abrasives pour les utiliser comme matériaux de polissage ou de fin broyage.
Mirond (S. « Pierre-Joyau ») : En Cardolan, nous sommes toujours impressionnés par les gemmes des Pinnath Ceren (S. « Collines Rouges »), mais nous n’avons jamais vu la véritable richesse. La Moria produit un nombre incalculable d’assortiments infinis de gemmes et de verres fins, comprenant beaucoup de variétés rarement vues à l’extérieur des Halls des Nains. Les Nains les appellent Pierres-Joyaux et les classifient selon un système complexe fondé sur la résistance, la dureté et la couleur. J’ai déjà appris que les Pierres-Joyaux se plaçaient dans une des deux principales catégories : Fenen (S. « Voiles »), cristaux cachés » ou ce que je nomme « Verres »; ou Maegelehath (S. « Étoiles Acérées »), « Cristaux vigoureux » ou les communes « Pierres-Gemmes »,
De tous les verres, le Laen est sans doute le plus intrigant. Il est aussi dur que le diamant, mais il est lisse et sans point de clivage, ni crapaud. Mieux encore, il peut être façonné lorsqu’il est soumis à l’effet du froid, car il est enchanté, comme le Mithril. Le Laen naturel est noir, comme la Tour d’Angrenost (Isengard); cependant, lorsqu’il a été travaillé, il peut être coloré, ou rendu transparent.
Les quartz et les obsidiennes fournissent la plus grande partie des Verres de la Moria, toutefois il existe un nombre considérable de topazes et de verres transparents. D’autre part, personne n’a jamais entendu dire qu’une quelconque des pierres précieuses des Nains était prédominante. J’ai vu un nombre égal de diamants, émeraudes, rubis, aigues-marines et autres encore. Puisque les Nains paraissent les tirer toutes de la Moria, j’ai été stupéfait. Cela m’a convaincu que Khazad-dûm est soit le centre d’Endor, soit spécialement béni par les Valar,
Dirielond (S. « Roche Fascinante ») : Le peuple Trapu utilise la Pierre Fascinante pour des usages décoratifs, ou dans des endroits où la Pierre de Feu est difficile à employer. Elles fournissent des colonnes cérémonielles, des revêtements de murs et de sols, des escaliers et un grand nombre de décorations élaborées des chambres de pierre.
Les Nains placent au-dessus de toutes les autres pierres, les Pierres fascinantes qui sont de deux sortes : les formes dures et fragiles « Pierres Humides », ou pierre à chaux. Les marbres compacts sont coupés en tranche sur les parois des Première et Deuxième Profondeurs, tandis que les pierres à chaux froides et humides recouvrent la plupart des cavernes naturelles. Quelques uns pensent que le marbre est plus spectaculaire, mais je trouve que la multitude de « pics-de-plafond » (stalactites) et « pics-de-sol » (stalagmites) en calcaire de la Moria contiennent une grâce et un charme uniques. Les Nains paraissent partager cet avis, car ils gardent les meilleures de ces formations lorsqu’ils creusent. Beaucoup sont sculptées et un nombre substantiel se voit accorder un respect solennel. Les Légendes des Nains leur confèrent le titre de « Larmes d’Aulë ».
Les « Pierres Feuilletées » constituent le reste des Pierres Fascinantes de la Moria. Les Schistes, silex et ardoises sont les plus connus et les plus employés. Lorsqu’ils sont taillés et polis, ils constituent des revêtements de sol, d’escalier et de grandes surfaces planes idéaux. Mais mes exemples favoris demeurent dans un état ancien. A travers tout Khazad-dûm, il y a des chutes d’eau creusant des escaliers en ardoise naturels, leurs eaux se rejoignant dans de simples bassins soulignés do mica scintillant et de couches alternées de schistes aux teintes multiples.
Table : Classification des pierres
Sindarin | Nom Nain | Usage | Variété |
---|---|---|---|
Naurond | Pierre de Feu | Structurel | granit, basalte, pierre ponce, etc. |
Mirond | Pierre-Joyau | ||
Fenen | Verres | Décors | Laen, quartz, obsidiennes, topazes, etc. |
Maegelenath | Pierres-Gemmes | Joaillerie | Diamants, émeraudes, niais, etc. |
Dirielond | Pierres-Fascinantes | ||
Pierres Compactes | Façades | Marbre | |
Pierres Humides | Sculptures | Calcaire | |
Pierres Feuilletées | Sols | Schiste, silex, ardoise, mica, etc. |
Méthodes de construction
Un marchand de Tharbad a écrit une fois : « Où que les Nains aillent, ils gravent des légendes dans la pierre. » Beaucoup de ceux qui ont vu une route Naine ou un tunnel Nain ou même un mur Nain parlent du « langage dans la pierre » des Nains, car les Naugrim construisent des ouvrages qui défient le visionnaire et stupéfient l’ingénieur. Même la plus modeste de leurs voûtes ou le plus simple de leurs escaliers suggère quelque configuration épique à sa fondation.
Les maçons de la Moria sont les travailleurs de la pierre les plus accomplis d’Endor. Supportant une tradition vieille de cinq mille ans, ils renferment une fierté spéciale et font appel à une réserve incroyable d’exemples et de connaissances lorsqu’ils pratiquent leur art. Ils aiment également la roche. Leur maîtrise s’étend à chaque saillie, texture, grain ou imperfection ; car avec chaque morceau de pierre, ils trouvent un sens d’être unique, un esprit au repos. Les maçons Nains sculptent, polissent et composent des motifs en y accordant autant de sentiments et d’intuition qu’ils en mettent à conserver l’héritage de leurs ancêtres.
Extraction et transport de la pierre
Chaque ouvrage Nain débute par un plan adapté à la fois au besoin pratique et esthétique. Les ingénieurs, les maçons et les sculpteurs se rencontrent pour considérer le tout, de la localisation à la couleur. Une fois que le plan est arrêté, les tailleurs de pierre extraient la roche choisie. Ceci, ils le font suivant son type et les circonstances, mais la plupart des coupes suit toujours une procédure standard. Normalement, l’ingénieur inscrit la face d’origine, gardant à l’esprit les failles ou le grain. Alors, un scribe contrôle le compte de pierre et des ouvriers marquent au ciseau les lignes de coupe et les trous pour les coins correspondants. Des coins d’acier sont enfoncés dans les trous, éclatant la pierre suivant les lignes de coupe. Dans tous les cas, la première coupe est effectuée le long de la base d’une rangée de pierres. La coupe des bords vient ensuite libérant la pièce brute.

Là où la face ne permet pas d’accès immédiat, ni de côté, ni à l’arrière de la roche, les maçons Nains créent une approche. Des coupes rabattent la rangée supérieure et découpent une mince voie d’accès rectangulaire dans le côté jusqu’à la profondeur voulue. Avec des coins et des barres à mine, ils poursuivent en fendant la face arrière des blocs. Cela précède toute découpe au coin, horizontale ou verticale, qui libère les blocs individuels.
Des ouvriers font glisser les blocs bruts libérés sur des charrettes à pierre en acier, au moyen d’une rampe mobile et d’un treuil de freinage. Les longues et solides roues, semblables à des rouleaux, des charrettes lourdes s’encastrent, et progressent le long des rainures dans le sol, et sont calées à chaque fois qu’une certaine stabilité est nécessaire. En charge, une charrette porte jusqu’à sept tonnes. Quatre Nains propulsent chacune d’elles en utilisant des manivelles à main, tandis qu’un autre dirige la charrette au moyen d’un levier qui maintient les roues sur la voie. Comme les couloirs des carrières sont larges et qu’ils possèdent des Chambres de Manœuvre circulaires à chaque intersection, les Naugrim rencontrent peu de difficultés en guidant les blocs jusqu’aux grands élévateurs qui les apportent au niveau approprié. Les couloirs hors des mines et des carrières conservent souvent des rainures du sol dans des buts de drainage, mais les charrettes lourdes, dans ces zones, se déplacent librement ou attachés dans des rainures des murs pour être contrôlées. Ces charrettes portent les grandes charges mais nécessitent un guide Nain pour chacun des rouleaux tournants. De cette façon, la charrette négocie des manœuvres délicates et les jonctions difficiles sur son chemin jusqu’à sa destination finale.
Philosophie de construction
Dans la Moria, le simple processus d’assurer une pierre et de la transporter devient une merveille à voir, une suite merveilleuse d’évènements, sans égale dans ce monde de construction. Pourtant, ce n’est que le commencement. Avec l’arrivée des blocs bruts, les artisans commencent le travail délicat de préparer la pierre pour le positionnement.

Les Naugrim construisent pour l’éternité. Chacune de leurs étapes est soigneusement précise et destinée à produire le plus grand effet, sans souci de ce qui suit. Un mur destiné à rester caché derrière une façade dégage une beauté rivalisant avec celle du mur destiné à être exposé pour toujours ; une colonne purement décorative peut supporter un poids tout aussi bien que n’importe quelle autre. C’est la façon des Nains.
Cette situation affecte la découpe et la sculpture des blocs secondaires. Les maçons Nains tracent les contours de chaque pierre mise en position, de telle sorte que la suivante peut être découpée pour s’y adapter parfaitement. Chaque pierre adjacente d’une paire serre les surfaces de l’autre comme si elles avaient été brisées du même bloc. Il n’y a aucune liaison de ciment ou de mortier, quoi qui puisse se passer ensuite.
Techniques de construction
Tandis que le talent, la détermination, les outils et la bravoure font des Naugrim de superbes constructeurs, de même font les méthodes du bon sens. Ils utilisent des objets simples pour effectuer des travaux cruciaux. Avec un bon œil et une flasque de verre scellée contenant de l’eau, ils aplanissent. Des charrettes aux hauts côtés fournissent le sable noir et fin utilisé pour supporter temporairement les immenses pierres. Des fils à plomb déterminent les lignes verticales exactes. Des pots contenant des « Mousses Directrices » spéciales établissant les directions de la rose des vents dans l’obscurité presque complète. Les constructeurs de la Moria ont littéralement recours à des centaines de techniques pour réduire l’effort et accroître leurs capacités déjà considérables. Et, en cela. Khazad-dûm est largement un témoignage de l’intuition et de la dextérité.
Motifs du travail de la pierre
Des méthodes adroites permettent aux Naugrim de concentrer plus d’efforts sur leur but ultime. Cela les autorise à prendre un soin extrême dans l’arrangement et la finition du produit final. Ainsi, ils conservent leurs énergies pour des entreprises plus artistiques.
Le travail de la pierre chez les Nains est tel un art. Les Maçons préparent les pierres pour former de grands motifs qui semblent uniformes, cachant le travail de précision essentiel à la production traditionnelle des pierres individuelles. Peu perçoivent les jonctions subtiles et uniques de leur solidité stupéfiante. Au lieu de cela, les yeux se fixent sur les brillantes surfaces polies, les teintes du cœur de la pierre et les motifs ingénieux.
La Moria est la demeure d’innombrables motifs du travail de la pierre, le produit de cinquante-cinq siècles de martelage. Des écoles et des traditions spécialisées en ont conçu quelques-uns, tandis que d’autres sont des étapes de l’évolution de motifs standard. Parmi ceux-ci, quatre motifs sont remarquables.

Tête-de-hache : Les formes en têtes-de-hache ont des origines anciennes et datent des jours où la hache était un symbole estimé du pouvoir et de l’esprit. Les frises et reliefs en lames de hache décorent les murs qui datent du Premier Age. Avec le temps, cependant, des pièces d’art originellement inspirées des haches furent remplacées par une utilisation plus intensive de formes plus abstraites. Cette tendance culmina avec la réalisation de murs entiers faits de blocs en « tête-de-hache ».
Nombre des chambres de cérémonies de la Moria ont leurs murs ornés du motif en Tête-de-hache, grâce à l’emploi d’une disposition des blocs ainsi formée à 45°. Chaque diagonale est composée de pierres alternées, s’emboîtant, dont les extrémités sont convexes et les faces concaves, exactement comme les lames d’une hache. Les courbes extérieures d’un bloc se mettant dans les courbures intérieures de l’autre face. Le résultat est une série de brisures se croisant à l’image des vagues. Les joints sont sans mortier, puisque la construction est solide elle-même. Des baguettes de renfort en acier passent occasionnellement par des trous internes qui joignent les blocs, mais ces dernières sont normalement réservées aux pierres de raccord aux formes étranges qui entourent l’ouverture des portes.
Bande : Le motif de pierre en Bande, ou « Humain », est une déviation faite par les Nains d’un travail de la pierre communément trouvé en Eriador pour les monuments. Utilisé le plus fréquemment dans les murs des couloirs, il est simple et souvent non-décoré. Les dessins des principales Bandes de la Moria sont sous forme de rangées horizontales disposées en motifs de quatre lignes. Trois lignes de blocs cubiques de granite sont surmontées d’une rangée de longues dalles, fines et soigneusement polies, en marbre rouge. Ensuite, trois autres rangées de cubes de pierre s’étagent, et ainsi de suite. Du mortier blanc est utilisé pour ajouter solidité et décoration, et des frises de runes sont fréquemment inscrites dans les Bandes de marbre
Diamant : Les motifs en Diamant sont communément trouvés dans les Halls résidentiels, les Halls des Sources et moins régulièrement dans les Halls de Réunion. Comme le motif en Bande, il est sous forme de rangées à l’horizontale et avec deux types de pierre, mais cela sans mortier. De fait, chaque bloc possède un profond sillon en son sommet et une saillie protubérante, complémentaire, à sa base. Ceci permet aux rangées de pierres de s’encastrer lorsqu’elles sont disposées ensemble.
Des blocs de basalte lisse, ou de calcaire vert, composent les rangées du motif, Au lieu d’avoir une « langue » et un « sillon », ils sont taillés en octogones allongés, comme des rectangles aux coins coupés. Quand ils sont dressés en colonnes ou disposés en rangées, ils laissent des espaces d’une forme semblable aux diamants, où les coins, s’ils n’avaient été coupés, devraient se rejoindre. Les Naugrim placent du quartz ou du Laen dans ces vides de jonction pour consolider la structure. La facette arrière du Diamant étant plus grande, ils s’encastrent étroitement dans les cavités s’évasant vers l’intérieur et irradient de mille feux translucides. Les tailleurs de pierre les utilisent pour les bas-reliefs raffinés et, en de rares occasions, la pierre est fondue et refaçonnée autour de gisants ou de Pierres-Lumière.
Pierre Ailée : Les cryptes funéraires et les chambres spirituelles ont des murs faits avec des Pierres Ailées. C’est le motif de taille de pierre le plus complexe de la Moria mais, en grande partie, il ressemble à la forme en « Diamant ». Les Pierres Ailées sont des blocs de basalte avec des saillies et des sillons et sont creusés d’entailles qui accueillent de petits morceaux de Pierre-Joyau vitreuse. A la différence du motif en Diamant, cependant, les Pierres Ailées se disposent en lignes alternées, plutôt qu’empilées. Les trous des coins sont des heptagones, au lieu de diamants à quatre côtés et chaque bloc possède lieu de diamants à quatre côtés et chaque bloc possède une encoche supplémentaire au centre de ses parties supérieure et inférieure. Ces encoches supplémentaires s’emboîtent dans les coins coupés des pierres de la rangée en vis-à-vis, autorisant par là même aux plus petites pierres « tampon » vitreuses de s’adapter malgré le dessin alterné.
Fichiers
Pour les fichiers .markdown, préférer un clic droit et sélectionner
« Enregistrer le lien sous... »
- 048-spring-hall.jpg (129.1 kB)
- 049-spring-hall.jpg (175.67 kB)
- 050-exit-cistern.jpg (119.33 kB)
- 050-mithril.png (245.92 kB)
- 051-mineraux-speciaux.jpg (408.74 kB)
- 052-terrasses-montagne.jpg (143.53 kB)
- 052-terrasses-montagne.png (390.04 kB)
- 054-durin-l-immortel.jpg (148.94 kB)
- 055-motif-tete-de-hache.jpg (112.13 kB)